| 29/10/2024 Cotiella Bilan de la sortie: Et oui, les angles du ciel étant nombreux en montagne, il faut très régulièrement pousser les panneaux en dehors de l'ombre mouvante. ça servira à recharger les téléphones, tablette, et accus de lampe. Quand même, dans l'après midi, les troupes s'agitent par petits groupes. Guillaume du Lac disparaîtra soudainement, constituant ainsi un groupe de 1. Il ira se promener dans les falaises, et trouvera un troupeau de mouton, une perte, et l'accès tant rêver à des baumes perdues sur des terrasses suspendues. Liam, après 2 ou 3 heures à motiver l'équipe de la jeunesse, finira par en entraîner 2 sur 3 jusqu' à un énigmatique poteau à neige. L'histoire ne diras pas qu'ils finiront échoués sur un gros caillou au soleil, parfait pour continuer la sieste ! Guillaume du Causse se souvint brutalement qu'il avait acheté 30 amarrages Uli à un excité Aveyronnais dont j'ai perdu le nom*. Pas cher, mais les frais de port n'étaient pas compris, il faut aller les chercher dans une cache aveyronnaise, quelque part sur le massif. Après quelques coups de fils dont le résultat ressemble à une chasse au trésor, Cyp et Guillaume partent à la recherche d’une cache perdue dans un dédale de trou, perte et autre dépression karstique. Ils ont le sac vide et la tête pleine d'espoir. Il s'agit de retrouver le A69, ce que Guillaume réussi avec brio. La planque est un petit porche à quelques centaines de mètre de là, à 300 et quelques degrés : « tu as une boussole toi? - non pourquoi?! » Ça part bien ! Sinon le plan B consiste à partir du pluviomètre et de scruter l'horizon... Mais on ne sait pas où il est, ce pluviomètre ! Il y a bien un truc bizarre de l'autre côté du vallon, mais on ignore ce que c'est, surtout sans jumelles. À force de bricolage avec téléphone et GPS, nous finissons par tomber d'accord sur une direction. Chance, ce fut la bonne... et la planque fut découverte facilement. Le "cambriolage" fait, nous décidons de rentrer par le truc bizarre, qui s'avère bien être le pluviomètre. Non loin de là nous découvrons les restes d'un camp, et la résolution fut prise de le dépolluer. C'est ainsi que je me retrouve avec un sac plein de bidons, petites ferrailles et bouteille en verre, et que Guillaume redescendra glorieusement un tube PVC de 40cm de diamètre et 2.5m de long sur son épaule ! Arrivée au refuge, il reste le temps de jouer encore un peu au jeu des panneaux solaire, d'accueillir nos colocs espagnols pour la nuit, et de se poser la question fatidique: on fait quoi demain? * Il s’agit d’Eric Cabrit, fabriquant du dit « Uli » Participants : |