| 05/09/2006 Baume Dolente - Vébron Bilan de la sortie: Déroulement : . A la suite de la plongée d'équipement du S1 avec Damien, je retournais sur les lieux de cette cavité mystérieuse avec Guillaume et Catherine. Configuration : BI 4 litres à 215 bars au départ du S1. Consomations : Aller Topo S1 :280 litres S2 déjà équipé : 80 litres Retour S2 : 80 litres S1 avec petit débit continu sur la fin : 280 litres Total 720 litres Descriptif : S1 voir descriptif dans le précédent compte rendu. Dès la sortie du siphon, les dimensions sont confortables, presque 2 mètres de large, 6 mètres de haut, en fait on ne s situe seulement que dans le surcreuseument de la galerie, celle fait 8 mètres de large pour 7 mètres de haut. Dans l’actif, quelques litres secondes à l’étiage, le passage est encombré de blocs, des talus d’argile sur les cotés permettent de contourner l’obstable. La présence de cette grande quantité d’argile atteste d’un enoiement lors des périodes de grosses crues, le siphon vers la sortie pérenne (branche non connue), ne suffisament pas à évacuer l’eau. La suite de la cavité augmente un peu plus en dimensions, un grande coude à l’équerre permet de rejoindre une magnifique salle, les dimensions sont équivalentes à la grande salle de la Clujade. Une magnifique coulée d’une dizaine de mètres de haut, orne la salle. Le plafond est en forme d’ogive régulière. Après avoir contourner des blocs calcités, on récupère la petite rivière, le plafond s’abaisse, la section de la galerie devient rectangulaire, le cheminement est rectiligne, encombré de temps par des blocs. Après un nouveau coude de la galerie, le plafond s’abaisse progressivement pour venir mourir sur les berges du second siphon. L’eau est cristalline, une invitation à la plongée, dès les premières ont descend à environ – 4 mètres (le point bas). La progression est en dent de scie, le sol se compose de petites dunes se sable fin, avec une largeur et hauteur confortable (1,5 mètres et 3 mètres). Dès la sortie, on débouche dans une salle défondrement, toute en hauteur (15 à 20 mètres), sur le coté de la parois basse, l’actif semble ressortir d’une trémie (à vérifier). Pour poursuivre, on escalade le grand éboulis de la salle, au fur à mesure de l’ascension, le plafond rejoint le sol, et ce n’est que grâce à un passage opportun à quatre pattes, que la progression ne s’arrête pas au point haut. Derrière, un nouvelle éboulis avec de gros blocs instables aboutit à une trémie scellée d’où sort un petit actif et un léger courant d’air. La suite ne se trouve pas à cet endroit, un passage bas sur une dalle de calcite nous ramener derrière probablement la deuxième grande salle, la galerie qui suit fait entre 1 à 4 mètres de haut, à cause des dalles tombées du plafond. On traverse une nouvelle petite salle d’effondrement, la galerie se poursuit dans la même direction. La suite se fera à la prochaine sortie qui permettra la topographie de cette cavité majeur de ce petit Causse, où il semble étonnant de trouver des volumes autant important. Merci à Catherine et Guillaume d'avoir patienter à la fraicheur de la nuit. Participants : |